Vivre de mort, mourir de vie
le paradoxe qui illustre la complexité
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Vivre de mort, mourir de vie, cette réflexion paradoxale que nous proposait déjà Héraclite pour évoquer la fonction régulatrice des contraires, nous fait prendre conscience de la complexité inhérente au monde du vivant.
Complexité que nous devons aborder dans son ample réalité où se rencontrent des processus antagoniques, concurrents, conflictuels, récursifs ou complémentaires. Complexité domaine à la fois de la nécessité et du hasard. Complexité où règne finalement l'incertitude.
C'est le contexte dans lequel sont plongés les décideurs et qui rend leurs décisions si difficiles à prendre. La simple rationalité n'est pas suffisante, l'intuition pure n'est pas déterminante, le sentiment privilégié et la volonté de bien faire sont insuffisants pour prendre les bonnes dispositions. Compter sur son intuition rationnelle ou sur sa rationalité intuitive si cela a du sens, en tous cas sur les deux conjointement pour aboutir à un arbitrage incertain mais le plus adéquat, le plus juste et le plus efficace possible, voilà le challenge.
Si bien qu'un décideur devrait toujours se poser la question de savoir quelle est sa sensibilité au concept de complexité. Et pour assurer sa performance, il lui serait utile de s'imprégner du paradigme de la complexité tel que l'a développé Edgar Morin.
L'inventaire de personnalité RADHAR est le bon support pour l'aider à prendre conscience de son aptitude à intégrer la complexité dans sa démarche et à y trouver des axes de réflexion personnalisé afin de lubrifier sa mécanique mentale.
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